Historia de un vasco. Cartas contra el olvido | Iñaki Arteta

En Historias de un vasco. Cartas contra el olvido, el director, guionista y productor cinematográfico Iñaki Arteta nos ofrece una obra valiente y vivencial en la que aborda de manera crítica la forma en que tanto él como la sociedad vasca se enfrentó a ETA. El libro no se limita cronológicamente al tiempo en que la citada organización terrorista permaneció activa. Por el contrario, nos acerca el escenario presente en el cual se aprecia un rasgo que va contra todo parámetro ético y moral: “en esta tierra que piso, los que eligieron el mal lo practicaron sin ningún tipo de escrúpulo. Ahora, los que celebran las hazañas macabras con champán se confunden con los demás en las calles tranquilas de nuestros pueblos y ciudades. Como un cáncer imposible de extirpar” (p. 239). Leia Mais

Entre lenguas y mundos. Josep Sabah. Las cartas de un maestro de la Alliance Israélite Universelle desde el Litoral | M. Szurmuk

Entre lenguas y mundos. Josep Sabah. Las cartas de un maestro de la Alliance Israélite Universelle, publicado por la Editorial de la Universidad Nacional de Entre Ríos, forma parte de la colección El país del Sauce dirigida por Sergio Delgado. El objetivo de la colección consiste en compilar escritos de contenido político, cultural y literario que refieran a la vida en el litoral argentino. En este caso la colección nos presenta una serie de cartas, escritas originalmente por el maestro de la Alliance Israélite Universelle, Josep Sabah, entre 1894 y 1922, en las cuales se describe centralmente la experiencia educativa en Colonia Clara, provincia de Entre Ríos, y Moisés Ville, provincia de Santa Fe. Leia Mais

Voces de la ausencia. Las cartas privadas de los emigrantes asturianos a América (1856-1936) | Laura Martínez Martín

As cartas privadas e, em particular, as escritas pelos emigrantes de longas distâncias, receberam atenção de numerosos historiadores, linguistas e cientistas sociais de várias gerações. Desde a publicação, em 1918, de The Polish Peasant in Europe and America, dos sociólogos William Thomas e Florian Znaniecki, para citar a obra mais importante no seu gênero, publicaram-se inúmeras recompilações e estudos de documentos pessoais relacionados aos grandes movimentos migratórios, especialmente do velho ao novo continente. Os historiadores atuais das épocas moderna e contemporânea sabem muito bem que a correspondência epistolar não é uma fonte que se possa desprezar inadvertidamente, e não são poucos os que lhe concedem uma importância central para descrever e explicar processos históricos complexos, como os conflitos bélicos e as migrações em massa, por exemplo. Nesse contexto epistemológico, vale a pena conhecer o livro Voces de la ausencia, com o qual Laura Martínez coroa vários projetos de pesquisa coordenados pelo professor Antonio Castillo Gómez na Universidad de Alcalá1. Leia Mais

Si je reviens un jour… Les lettres retrouvées de Louise Pikovsky – TROUILLARD; LAMBERT (APHG)

TROUILLARD, Stéphanie, LAMBERT, Thibaut. Si je reviens un jour… Les lettres retrouvées de Louise Pikovsky. Paris: Des Ronds dans l’O, 2020. Resenha de: CHANOIR, Yohann. Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie (APHG). 30 avr. 2020. Disponível em: <https://www.aphg.fr/Si-je-reviens-un-jour-Les-lettres-retrouvees-de-Louise-Pikovsky-4019> Consultado em 11 jan. 2021.

Un livre, une histoire, l’Histoire

Tout livre, même dessiné, a une histoire. Celui-ci encore plus que les autres. En 2010, dans un lycée parisien, sont retrouvées des lettres et des photographies appartenant à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Arrêtée le 22 janvier 1944, transférée à Drancy avec ses parents, elle est déportée à Auschwitz, d’où elle ne reviendra pas. Le destin de Louise et de sa correspondance épistolaire avec sa professeure de latin-grec est en soi déjà émouvant. Mais il l’est davantage encore par la suite. Retrouvées, les lettres sont lues, mises en valeur dans le lycée de Louise, où une plaque commémorative sur les élèves déportés a pu être posée. Elles ont servi ensuite à nourrir un webdocumentaire réalisé par Stéphanie Trouillard en 2017, auteure que nos lecteurs connaissent bien avec son très beau livre Mon oncle de l’ombre, sur son grand-oncle exécuté en 1944 par les Allemands. Elles sont devenues aujourd’hui une bande dessinée. On retrouvera d’ailleurs quelques-unes de ces lettres et photos à la fin de l’album.

La vie d’une jeune lycéenne parisienne

Née en 1932, Louise est une élève dont la maturité surprendra plus d’un lecteur. Non seulement par la beauté de son raisonnement, par son souci des autres, mais aussi par sa prescience en 1944 que son destin est scellé et qu’elle accepte avec une incroyable résolution. Louise est cependant une jeune fille, comme bien d’autres, avec ses amitiés, ses inimitiés. Elle est aussi une de ces élèves, toujours trop rares, qui saisissent la beauté d’un texte, qui s’accaparent l’enseignement donné, le questionnent, le transforment et lui donnent une plus-value. De fait cet album est aussi celui d’une rencontre, entre une élève et son enseignante. La classe n’épuise pas évidemment la vie de Louise. On plonge dans son quotidien, les repas avec la famille, les chamailleries avec les sœurs et son frère. Le dessinateur a su rendre le caractère spartiate du logement par les couleurs plutôt ternes (seuls les rideaux rouges sous l’évier cassent la palette chromatique). Il a su également l’enrichir par une foule de petits détails, ces « effets de réel » dont parlait Roland Barthes : le torchon qui enveloppe le pain (p. 23), le seau pour les détritus (p. 19) etc. Le sérieux du propos n’exclut pas l’humour. Nos lecteurs attentifs retrouveront le clin d’œil à Hergé et aux aventures de Tintin, une allusion référentielle typique de l’école belge.

La guerre en arrière-plan

Drame singulier en même temps qu’expérience collective subie par des millions de personnes, le destin de Louise n’est pas décontextualisé. Par petites touches, à la manière d’un impressionniste, le dessinateur place des éléments de contexte dans les planches. On y découvre un Paris bien sûr occupé, avec la présence de soldats allemands, un Paris déjà martyrisé par les bombardements (p. 49) mais aussi une capitale où la mort sociale de la population juive est mise en œuvre, avec le dessin bien connu d’une pancarte dressée devant un parc à jeux réservé aux enfants mais interdit aux Juifs (p. 34). L’album offre ainsi un résumé saisissant de la politique de collaboration des autorités avec les nazis : policiers français qui saluent, au détour d’une rue, une patrouille allemande, policiers français qui viennent arrêter Louise et sa famille pour les emmener à Drancy, antichambre de la mort, policiers enfin qui livrent les familles aux nazis. En quelques images, sans le renfort de cartouches, tout est montré, tout est dit. Ces images sont d’autant plus poignantes que les grands-parents de Louise avaient quitté la Russie pour échapper aux pogroms et qu’ils pensaient être libres, heureux, en sécurité. Le destin de Louise est aussi la mort d’une certaine idée de la République.

Un album à lire et à faire lire

Si l’intérêt de cette bande dessinée est naturellement d’ordre mémoriel, il nous semble que l’album joue un rôle tout aussi déterminant dans la pédagogie de la Shoah. Expliquer à des élèves aujourd’hui ce qu’est cet assassinant industriel de masse, n’est pas simple. Cela ne peut se réduire à une collection de mesures et de chiffres. Il est nécessaire d’incarner la « Solution finale », par des exemples précis. Comme le cinéma ou les séries télévisées, la bande dessinée dispose du pouvoir de l’image. À ce titre, en raison de sa richesse, cet album doit s’inviter dans nos pratiques.

Il y a d’abord l’empathie pour une jeune fille de leur âge. Il y a ensuite l’explication sobre et efficace de la mécanique implacable de la Shoah, de l’exclusion à l’arrestation puis à la déportation. La bande dessinée souligne également l’héroïsme au quotidien d’une enseignante, qui fait retirer à Louise pour la photo de classe, sa veste avec l’étoile jaune, car elle est « une élève comme les autres » (p. 45). On imagine la tranquille résolution de notre collègue qui, elle, n’a pas démérité de la haute idée que l’immense majorité du corps enseignant, hier comme aujourd’hui, se fait de la République.

Les larmes de notre collègue s’expliquent ainsi sans doute, pour ne pas avoir pu sauver une jeune vie si prometteuse et par là tout un monde. Qu’elle soit toutefois assurée et rassurée, grâce à elle, et grâce au travail des auteurs de cet album, au soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, Louise ne sera plus oubliée.

Site web de l’éditeur

Yohann Chanoir – Agrégé d’histoire, professeur en classe européenne allemand au Lycée Jean Jaurès de Reims, rédacteur en chef adjoint d’Historiens & Géographes.

Consultar publicação original

[IF]

 

Nietzsche e as cartas – DIAS; OLIVEIRA (CN)

DIAS, Rosa M.; OLIVEIRA, Marina G. de. Nietzsche e as cartas. Rio de Janeiro: Via Verita, 2019. Resenha de: COSTA, Gustavo Bezerra do N. Nietzsche por suas cartas. Cadernos Nietzsche, São Paulo, v.41 n.1 jan./abr. 2020.

Nietzsche e as cartas, coletânea organizada por Rosa Maria Dias e Marina G. de Oliveira, lançada no segundo semestre de 2019 pela Editora Via Verita, apresenta, de saída, dois importantes méritos.

Primeiramente, o fato de reunir em livro os textos apresentados no colóquio homônimo, realizado em novembro de 2017 na Universidade do Estado do Rio de Janeiro (UERJ). Desnecessário talvez seja dizer que da relevância desse evento, cujo sentido extrapolou o estritamente acadêmico e alcançou a esfera política, na medida em que se pôs como importante marco de resistência do corpo docente, discente e de funcionários daquela universidade ante o processo de desmantelamento imposto pelo governo estadual, que naquele período chegava a um de seus momentos mais críticos.

Não obstante esse feito por si auspicioso, colóquio e livro têm também o mérito de trazer a público ensaios de cunho biográfico e filosófico em torno do epistolário de Nietzsche1, colaborando decisivamente para preencher a lacuna decorrente da escassez de produção teórica sobre esse tema em nosso país. Não se trata, certamente, de mera ilustração ao pensamento filosófico, como se poderia aventar em abordagens com viés estruturalista ou mesmo pós-estruturalista. Ao contrário, e os textos contidos em Nietzsche e as cartas dão prova disto, o epistolário pode fornecer uma seleta matéria-prima ao exercício filosófico, mais ainda quando se trata de um pensador no qual a relação entre vida e obra se mostra tão visceral.

Além de ser o elo do andarilho Nietzsche com a família e os amigos, particularmente: Erwin Rohde, Carl Fuchs, Franz Overbeck e Heinrich Köselitz (Peter Gast), suas cartas se mostram como um exercício genuíno de reflexão filosófica. Cabe ao epistolário, assim como aos fragmentos, textos póstumos e também aos prefácios à reedição de suas obras, fornecer subsídios e indícios de teor genético à compreensão e interpretação de uma filosofia na qual o problema da gênese é intrínseco a seu próprio método. Isto, além de ser o meio adequado ao relato daquilo que em sua obra publicada – particularmente as do período intermediário e em Ecce homo – assume importância filosófica ímpar no que se refere à criação ou cultivo de si: a atenção com as coisas próximas: saúde, clima, amizades, dietética, por exemplo.

Com graus diversos de liberdade interpretativa, sem porém descurar do rigor exegético, os textos reunidos na coletânea apresentam um leque variado de abordagens em torno do epistolário de Nietzsche, ora com ênfase na cronologia, ora com acento temático. À guisa de orientação de leitura, e ainda que sob risco de esmaecer a variedade de nuances ali envolvidas, poderiam ser elencados alguns temas gerais.

As questões de método no trato com o epistolário são o mote para o texto de Fabiano de Lemos, que aponta para a necessidade de uma propedêutica à epistolografia nietzscheana como forma de mensurar seu estatuto em relação à obra. Já a aproximação, há pouco aludida, entre vida e escrita em Nietzsche, ganha destaque no belo ensaio de Clara Savelli, bem como, mais especificamente voltados ao período de elaboração de Assim falou Zaratustra, nos textos de Tiago Barros, Carla Silva e Enock Peixoto – este último, salientando um viés educativo no problema da autossuperação presente naquela obra. Também próximos a esse tema estão os escritos que abordam a relação, bastante recorrente em suas cartas, entre saúde e doença, alimentação e clima, amizade e solidão, deslocamentos e estadias. Aqui merecem menção os ensaios de Sandro Adão, Pedro Lima Filho, Lana Faya, Suyane Comar e Gabriela Alves, que abordam o tema sob perspectivas e enfoques diversos; e ainda, o texto de Rosa Dias, uma das organizadoras do livro, que traça a relação entre vida e obra em Nietzsche a partir das missivas dos períodos de estadia em Sils-Maria, onde foi concebido e delineado Assim falou Zaratustra e onde eclodiu, em agosto de 1881, o pensamento do eterno retorno.

As cartas do período de docência na Basileia, com ênfase em sua interrupção por motivos de saúde, bem como na crítica nietzschiana à burocracia e ao nivelamento imposto pelo sistema educacional alemão, são alvo, respectivamente, das abordagens de Vilmar Martins e Mariana Moreira. Já as missivas em torno da relação entre Nietzsche e Wagner são objeto da interpretação de Nilcinéia Longobuco, Marina Oliveira e Maria Helena Lisboa. Marina Oliveira, também organizadora da coletânea, toma a noção de amor fati como mote para pensar as distintas disposições de afeto suscitadas na comparação feita por Nietzsche entre a obra do compositor alemão e Carmen, ópera de Bizet. Esse ponto é também levantado na robusta interpretação de Maria Helena Lisboa sobre a amizade e o rompimento com Wagner, explorando determinadas nuances e mitigando aquilo que em uma leitura desatenta se teria como uma ruptura radical e pouco amistosa. As cartas sobre o relacionamento com Paul Rée e Lou-Salomé, por sua vez, ganham relevo no ensaio de Cristie Campello.

Chama a atenção, em uma abordagem distinta, a maneira atenta com que foram tratados nessa coletânea os prefácios de Nietzsche à reedição de suas obras, verdadeiras cartas a seus leitores, como muito bem apontam os ensaios de Joaquim Alves e de Miguel Angel de Barrenechea – este último, argutamente intitulado “Carta ao jovem Nietzsche”.

Já as cartas do período que antecede seu colapso mental, as chamadas “cartas da loucura”, ganham destaque nos textos de Alexandre Cabral, Carlos Estellita-Lins, Aparecida Duarte e José Nicolau Julião. Trata-se certamente do período mais crítico da trajetória intelectual nietzscheana, daí a importância inestimável que possuem os relatos desse período. Sob diferentes perspectivas, os três primeiros autores tratam dos temas da transgressão, despersonalização, performatividade e ressignificação da loucura a partir da escrita de si, chegando com isso a interpretações distintas, mas certamente mais potentes do que a leitura científica do estado psíquico do filósofo. Dentro dessa mesma temática, mas com abordagem diversa, está o texto de José Nicolau Julião que, partindo da missiva de Köselitz a Overbeck, traz à tona o debate ainda hoje aberto sobre a indefinição quanto ao diagnóstico do colapso.

Podem também ser ressaltadas as interpretações que, a partir das cartas e ainda que com temáticas diversas, estimulam um paralelo entre Nietzsche e outros filósofos e escritores, tais como Heidegger, Emerson, Sartre e Bishop. Aqui podem ser mencionados os textos de Kim Abreu, Tito Palmeiro, Helio Herbst e Lucrecia Corbella. Chamam ainda a atenção dois curiosos e bem-humorados ensaios. Um deles, uma bem construída carta a Nietzsche em torno do tema da ciência, redigida por Christine White. O outro, escrito com refinado grau de ironia por Rilza Barbosa, em torno dos boatos sobre o suposto encontro entre Nietzsche com D. Pedro II.

A abrangência de abordagens que aqui procuramos elencar e expor de forma sintética e talvez pouco atenta não faz certamente jus à miríade de perspectivas que caracterizam os ótimos ensaios contidos em Nietzsche e as cartas. Espera-se, contudo, que sirvam de ensejo à leitura dessa obra que, como aventamos no início, já se põe como marco nas pesquisas em torno desse instrumento ímpar de reflexão filosófica que é o epistolário de Nietzsche.

Referências

DIAS, Rosa M.; OLIVEIRA, Marina G. de (orgs.). Nietzsche e as cartas. Rio de Janeiro: Via Verita: 2019. [ Links ]

NIETZSCHE, Friedrich W. Correspondencia. Trad. esp. Luis Enrique de Santiago Guervós et. al. Madrid: Trotta, 2005-2012, 6v. [ Links ]

NIETZSCHE, Friedrich W. Sämtliche Briefe – Kritische Studienausgabe in 8 Bänden (KGB). Berlim: DTV / Walter de Gruyter, 1975-2004, 8v. [ Links ]

1A edição consolidada das cartas de Nietzsche, Sämtliche Briefe – Kritische Studienausgabe (Nietzsche, KGB, 1975-2004), é resultado de um trabalho extenso e minucioso coordenado por Giorgio Colli e Mazzino Montinari, e publicada a partir de 1975 em oito volumes por Walter de Gruyter, em parceria com a Deutscher Taschenbuch Verlag (dtv). Os textos que compõem Nietzsche e as cartas valem-se dessa edição, bem como da espanhola Correspondencia (Nietzsche, 2005-2012), organizada por Luis Enrique de Santiago Guervós, publicada entre 2005 e 2012 em seis volumes pela Editorial Trotta.

Gustavo Bezerra do N. Costa – Universidade Estadual do Ceará (UECE), Fortaleza, CE, Brasil. E-mail: [email protected]

Acessar publicação original

A Filosofia Natural de Benjamin Franklin: Traduções de Cartas e Ensaios sobre a Eletricidade e a Luz | Breno Arsioli

Breno Arsioli Moura is a Professor at the Federal University of ABC (Universidade Federal do ABC – UFABC), at the Centro de Ciências Naturais e Humanas [Natural and Human Sciences Center] (CCNH), Santo André, SP, Brazil, and a faculty member of the graduate program PEHCM (Pós-Graduação em Ensino e História das Ciências e da Matemática2 [Graduate Program in Teaching and History of Science and Mathematics]). Moura, both a historian of science and science educator, is known for his contributions to the history of science in the 18th century, history of optics from Newton to early-19th century, and the utilization of science studies in science teaching and education. His book, A Filosofia Natural de Benjamin Franklin: Traduções de Cartas e Ensaios sobre a Eletricidade e a Luz (2019) [The Natural Philosophy of Benjamin Franklin: Translations of Letters and Essays on Electricity and Light], is a work of scholarship on the scientific achievements in electricity by Benjamin Franklin (1706-1790), famous American statesman, publisher, scientist, and diplomat. Leia Mais

Gritos de papel: las cartas de súplica del exilio español (1936-1945) | Guardalupe Adámez Castro

A obra é resultado da tese de doutorado defendida na Universidade de Alcalá de Henares/Espanha, sendo a autora, Guadalupe Adámez Castro, integrante do Seminario Interdisciplinar de estudos sobre Cultura Escrita (SIECE) e, do Grupo de Investigação Lectura, Escritura, Alfabetización (LEA)1. Orientado com um enfoque interdisciplinar, que parte da metodologia da História Social da Cultura Escrita, o material analisa as cartas de súplicas durante o período do exílio espanhol como um documento vivo, baseando-se na dimensão social e cultural desta prática. Organizada em cinco capítulos, prólogo e epílogo, a publicação objetiva dar visibilidade a uma parte da história particular dos refugiados, assim como compreender as relações que esses mantiveram com a escrita durante a experiência de retirada forçada para outro país.

Inicialmente, a autora aborda as diferentes fases do exílio espanhol, sendo a primeira ocorrida entre os meses de agosto e setembro de 1936, resultante da derrota do exército republicano na campanha de Guipúzcoa. Já o ano de 1939 marca o momento de maior êxodo, onde cerca de quinhentos mil espanhóis se deslocam para a França e para o norte de África. Outras levas de refugiados, nas décadas de 1940 e 1950, assim como as dificuldades de regresso, configuram o período longa duração do exílio, sendo que, em muitos casos, o retorno ocorreu somente com o decreto-lei 10/1969 2. Outros, voltaram ao País somente após a morte de Franco em 1975 e, alguns, jamais retornaram à sua terra natal. Leia Mais

Género y sociedad en el Egipto romano. Una Mirada desde las cartas de mujeres – ZABALEGUI (PR)

ZABALEGUI, A. Goñi. Género y sociedad en el Egipto romano. Una Mirada desde las cartas de mujeres. Oviedo: Ediciones de la Universidad de Oviedo, 2019, 360p. Resenha de: PERALES, A. Izquierdo. Panta Rei. Revista Digital de Ciencia y Didáctica de la Historia, Murcia, p.199-201, 2019.

La doctora Goñi Zabalegui nos sumerge, a partir de las cartas de las mujeres en el Egipto romano, en la historia social de Egipto bajo el dominio del Imperio. Esta publicación es la adaptación en formato libro de la tesis doctoral de la autora, Cartas papiráceas de mujeres del Egipto Romano: género y sociedad. Esta obra se incluye dentro de la Colección Deméter vinculada al grupo de investigación Deméter. Maternidad, género y familia de la Universidad de Oviedo, cuyo objetivo es la implantación y desarrollo de los estudios de género a través de dicha colección monográfica.

Para realizar este estudio la autora parte de la obra de R. S. Bagnall y R. Cribiore, Women’s Letters from Ancient Egypt, 300 BC-AD 800 que, a principios de nuestro siglo, realizaron una recopilación de los papiros y los ostraca de las mujeres desde época ptolemaica hasta parte de la Alta Edad Media. No obstante, decide profundizar en la situación concreta de las mujeres en el Egipto romano, abarcando un periodo histórico desde el siglo I a. C. al siglo III d. C. El libro se centra en tres ámbitos de la sociedad de este periodo: las relaciones sociales, la movilidad y las actividades económicas. La premisa de su autora es que un estudio exhaustivo de las cartas de este momento puede aportar una visión sobre las relaciones de género y de poder, así como la situación en que se encontraban las mujeres en este contexto.

En el primer capítulo se analizan las cartas en papiro de mujeres y la práctica epistolar durante este periodo. La autora señala que, en general, el acceso al papiro no fue caro ni difícil, aunque en algunas zonas el acceso al mismo debió ser más caro, por lo que parece ser el motivo por el cual encontramos reutilización de papiros o el uso de ostraca. Por otro lado, mientras que durante el Egipto ptolemaico la documentación se halla principalmente en el contexto funerario, en el Egipto romano aparece en el espacio urbano. No obstante, hay pruebas de correspondencia en época ptolemaica, ya que había un sistema bastante desarrollado de correspondencia entre el monarca y los subordinados, aunque la mayor parte de las cartas en papiro proceden de época romana.

Durante el segundo capítulo se retratan las relaciones sociales a través de la correspondencia. La familia constituye entonces la unidad básica de organización social y, por otro lado, es un vehículo de construcción de identidades. Había diferentes tipos de familia (nuclear, extensa, y hermanos y/o hermanas que convivían de forma independiente o con sus parejas en una misma vivienda) que podían variar dependiendo del cambio de estatus del individuo. Además, los matrimonios consanguíneos fueron habituales hasta su desaparición en el siglo III d. C. Asimismo, se trata de un periodo con altas tasas de mortalidad, un factor que influyó a las estructuras familiares de la época, y en el caso de las mujeres hay muchas muertes vinculadas al parto.

En cuanto a la situación de la mujer, mientras que el derecho egipcio proporcionaba una mayor libertad a las mujeres, en época ptolemaica se introduce la figura del tutor legal para las féminas, que continúa hasta época romana. Aunque las mujeres siguieron gozando de cierta autonomía pese a esta figura legal, se vieron afectadas ya que, aunque no dependían del tutor para gestionar propiedades o negocios, o para presentar una demanda, sí que precisaban de su compañía en determinados momentos de procesos judiciales, y, por otro lado, su participación política se vio afectada por el derecho latino y las limitaciones que este establecía para desempeñar la mayoría de oficios públicos en la zona griega del Imperio romano. Dentro del contexto familiar, al mismo tiempo, las mujeres tenían un papel importante dentro de la vida de los hijos en la tradición greco-egipcia: las madres, incluso las abuelas, podían decidir sobre la vida de los hijos.

En cuanto a las relaciones fuera del núcleo familiar las amistades también tenían un papel importante en la sociedad grecolatina, sin embargo su concepto de amistad va más allá del actual, ya que adquieren un papel primordial dentro de la esfera pública y política.

Por otro lado se encuentran las relaciones de dependencia, los esclavos y las esclavas por ejemplo, aunque en las cartas aparecen en ocasiones difuminados con otro grupo de personas cuyo estatus no aparece definido, pero que sabemos que recibían un jornal muy pequeño, por lo que su relación de dependencia podría equipararse a la de los esclavos. En las cartas la forma de comunicación de las personas dependientes es diferente, porque se muestra la necesidad o el deseo de desempeñar correctamente la tarea que se les ha encomendado, ya que probablemente en el pasado recibieron alguna crítica por no haber desempeñado bien la función encomendada, como bien señala la autora.

Se destaca que las relaciones sociales no solo están marcadas por el poder, sino que también están influidas por la reciprocidad, algo que tuvo una gran importancia en el mundo grecorromano. La reciprocidad regulaba todas las relaciones sociales, pero también las relaciones entre las personas y los dioses.

En el tercer capítulo aborda los espacios relacionados con las cartas, desde el hogar hasta los viajes. El acceso a la vivienda en el Egipto romano era privilegiado en esta provincia, cuyo valor económico lo podemos estudiar a través de contratos (alquiler, compraventa, matrimoniales), testamentos, así como los préstamos de dinero en los que se hipoteca la casa. Por otro lado, la diferencia entre lo público y lo privado es fundamental para entender los roles de género en el mundo antiguo. El papel de la mujer en la vida pública queda muy limitado debido al derecho latino, por lo que solo realizaron participaron en algunas actividades religiosas con poco poder ejecutivo, siempre determinadas por el estatus económico de las mujeres.

Asimismo hay pruebas en las cartas de los viajes de las mujeres. Dependiendo de la situación socioeconómica de cada mujer podía viajar sola o acompañada: había mujeres que solo estaban acompañadas por otros viajeros del camino, conocidos o familiares, y esclavos o escoltas en el caso de las mujeres de un estatus social elevado.

A lo largo del cuarto capítulo se detiene a analizar el rol de las mujeres dentro de la economía a través de las cartas privadas. En de este contexto el papel de las cartas fue fundamental, ya que en ellas se produce la comunicación de gestiones administrativas, por lo que forman parte de un corpus de documentación administrativa que nos permite entender la distribución y administración de la economía durante este periodo. Durante el periodo de ocupación romana se consolida la propiedad privada, lo cual provoca una fragmentación de la misma y el aumento de las parcelas pequeñas en la chora egipcia, fruto de las herencias, lo cual determina la situación socioeconómica tanto de hombres como de mujeres.

Finalmente la autora proporciona al lector un apartado de anexos: en el primer anexo encontramos una serie de tablas descriptivas con el nombre del documento, el emisor o emisora, el destinatario o destinataria, el lugar donde se ha encontrado el documento, y la fecha en que está datado; en el segundo anexo describe y analiza brevemente cada una de las cartas que se han tenido en cuenta para la realización de su estudio; y, finalmente, en el tercer anexo la autora proporciona una serie de mapas e ilustraciones.

En definitiva, el trabajo realizado por Goñi Zabalegui es, sin lugar a dudas, fundamental, no solo para entender la historia del Egipto grecorromano, sino también para el estudio del Imperio romano, la historia de género, la historia de la economía y la historia social. Además, a través de esta obra se contribuye claramente al desarrollo y la difusión de la papirología. Su obra tiene una magnífica profundidad y diversidad cuyo alcance va más allá de un estudio de género, ya que la cantidad de datos y perspectivas que maneja la autora demuestran la calidad de su estudio. Por otro lado resultaría sumamente interesante ampliar este mismo estudio a los otros periodos que aparecen en la obra de Bagnall y Cribiore, para así culminar realizando un estudio comparativo de los cambios sociales y de la construcción del género entre el año 300 a. C. y el 800 d. C. Asimismo, también supondría un gran aporte científico una profundización en la historia emocional a través de las cartas de las mujeres: por ejemplo, tratando cómo vivían su emocionalidad y qué tipo de vínculos se generaban dentro de la familia. No obstante, el estudio de la autora ya es de por sí bastante extenso y polifacético, y es en sí mismo un gran aporte para el mundo de la investigación.

Alejandra Izquierdo Perales – Universidad Complutense de Madrid.

Acessar publicação original

[IF]

 

Guerras de papel: Francisco de Paula Santander e Simón Bolívar, das peças autobiográficas à relação epistolar (1826-1837) | FAbiana de Souza Fredrigo

Com a passagem de dois séculos desde a deflagração, em 1810, dos processos históricos que se estenderam até 1824 e culminaram na emancipação das colônias hispano-americanas, vêm ocorrendo em vários países da América Latina “celebrações” do bicentenário de suas respectivas independências políticas. Por meio dessas efemérides, os calendários acabam nos impondo, periodicamente, seus temas e fatos históricos de forma implacável, fornecendo sempre, felizmente, a possibilidade de um novo olhar para um “mesmo” passado. Na esteira dessas celebrações, o grande público de cada uma dessas nações tem tido e terá à disposição, certamente, um acesso maior às sínteses históricas, cronológicas e factuais a respeito das independências nacionais. Surge, assim, a oportunidade, embora menor do que se poderia esperar, para o necessário debate sobre o significado, em pleno século XXI, desses acontecimentos que marcaram indelevelmente os perfis, os limites e as possibilidades de novos Estados nacionais latino-americanos que começariam a ser formados a partir das primeiras décadas do século XIX, quando a própria ideia de América Latina sequer existia. Leia Mais

El joven Pierre Vilar, 1924-1939. Las lecciones de Historia – CONGOST (LH)

CONGOST, Rosa. El joven Pierre Vilar, 1924-1939. Las lecciones de Historia. València: Publicacions de la Universitat de València, 2018, 440 pp. Resenha de: CASTEALO, Ofelia Rey. Ler História, v.73, p.270-273, 2018

1 Este libro de Rosa Congost está dedicado a los estudiantes de Historia, lo que me parece significativo y adecuado por cuanto el Pierre Vilar (1906-2003) que aparece en este largo texto es un joven en fase formativa. Sin embargo, los lectores a los que va destinado son más bien los de generaciones de historiadores que en estos momentos tienen ya una trayectoria larga y se criaron, en gran medida, en la lectura de la obra del Vilar historiador pleno. Para unos y otros valdrá para comprender la génesis intelectual de la obra histórica del gran historiador francés, ya que, como muy bien indica la autora, durante el período abarcado “no existe ninguna obra que analizar”. En efecto: este libro se basa en la frecuente e intensa correspondencia mantenida desde 1924 a 1939 entre Pierre y su hermana Marie, su tía Françoise y otros componentes de su círculo familiar y de amistad, de modo que a su través, Rosa Congost persigue todos los indicios que iluminan el proceso de formación de un historiador para así entender su aportación a la Historia.

2 El libro no es una recopilación de cartas, sino que se reproducen párrafos significativos que ilustran aspectos clave de la vida intelectual y humana de Vilar. Es Rosa Congost quien las hilvana, las relaciona, las explica y les da sentido para los lectores actuales, no en vano no estaban escritas para la posteridad, sino que eran un vínculo de relación entre personas cercanas en cuyo núcleo estaba Vilar. Como es lógico, las cartas contienen muchos hechos y situaciones personales, familiares y cotidianos, y están llenas de personajes que formaron parte de la existencia de Vilar –profesores y compañeros en los centros de enseñanza a los que asistió, amigos y amigas episódicos o estables– pero también de la Francia intelectual, universitaria y política de aquellos años que arrastraban a Europa hacia una segunda gran guerra.

3 En las cartas aparecen referencias a instituciones que en muchos casos son poco conocidas fuera de Francia y que Rosa Congost explica con cuidado, ya que no serviría de nada exponer qué eran sino lo que significaban en los años jóvenes de Vilar o incluso hoy en día: el liceo Louis-le-Grand de París, l’École Normale, incluso la Sorbonne de por entonces. Igual de importante es la extensa explicación que da Rosa Congost del competitivo mundo académico francés y de su exigente sistema concursal, con epicentro en los exámenes de agregación, que servía para retener a una minoría cualificada –¿una elite?– que combinaba capacidad intelectual y discursiva; aunque las cartas de Vilar no ocultan las deficiencias del sistema, la ansiedad, los agobios y las decepciones que le producía. También permiten ver que Vilar le fue tomando la medida a profesores aferrados a ideas y métodos tradicionales, haciéndose cada vez más observador de quienes aportaban algo diferente, que en muchos casos no eran historiadores sino geógrafos. Por supuesto, valen también para descubrir que Pierre Vilar no era un estudiante extraordinario que desde el primer momento supiera que quería –ni siquiera qué buscaba–, sino un joven con hábitos de estudio y de lectura bastante convencionales, propios de muchos estudiantes de la época.

4 El recorrido por la experiencia académica de Vilar nos revela que se fue haciendo consciente de que era necesario darle la vuelta a la forma tradicional de hacer historia, sobre todo en lo que se refería a las relaciones entre política y economía, pero que no encontró un reflejo de esta inquietud en la universidad y por esto se encaminó hacia la Geografía, “lo que se parecía más, en aquellos momentos, a lo que podría ser la historia total” (p. 131). Eso no obsta para que admirara a algunos historiadores como Albert Mathiez, pero tardó en conocer la revista de Annales. Es muy interesante ver los sucesivos descartes que el Vilar joven iba haciendo, es decir, queda claro lo que le disgustaba e insatisfacía, y que, por lo tanto, lo apartaba, lo que, finalmente, también lo llevaría de la Geografía a la Historia.

5 La vida colectiva que Vilar llevó en París se desarrolla en el tercer gran capítulo de la primera parte del libro, de modo más breve pero intenso, ya que contiene importantes referencias a la dimensión humana del protagonista, indefectiblemente unida a la faceta académica, en especial la evolución de sus ideas políticas y religiosas. Vilar era un hombre formado en una familia católica, y él mismo se mantuvo en la práctica religiosa de forma asidua hasta 1926, dejando de hacerlo en torno a 1928. En paralelo, se produjo su politización y su progresivo acercamiento a posiciones de izquierdas, participando en movimientos colectivos como el Grupo de Estudios Socialistas, de 1925 a 1929, y la Unión Federal de Estudiantes, en los que se movió con intensidad, pero con cierta indecisión entre socialistas y comunistas. En este mismo capítulo se expone la preparación militar que le correspondía como estudiante de la École Normale y el servicio militar propiamente dicho, y la “educación sentimental”, tanto desde el punto de vista amoroso como el de la amistad.

6 La segunda parte del libro se distribuye en tres capítulos que recorren la parte final de la formación de Pierre Vilar y su primera visita a Barcelona en 1927 y su instalación en la ciudad. El viaje a la capital catalana obedeció a un objetivo académico: la elaboración y redacción de un trabajo para alcanzar el diploma de estudios superiores de Geografía que tenía que presentar en la Sorbonne, que hacía bajo la dirección de Albert Demangeon. Sus visitas a organismos económicos barceloneses –como la Cámara de Industria y Navegación, la Federación de Fabricantes de Hilados y Tejidos, entre otros muchos–, donde encontró abundantes datos, le permitieron llegar a donde pretendía, la redacción del trabajo, que luego saldría publicado en 1929 en la revista Annales de Géographie bajo el título “La vie industrielle dans la région de Barcelona”. El artículo establecía la tipología industrial de la ciudad y los factores de desarrollo, y concluía subrayando la potencia de la economía barcelonesa y la de sus empresas, así como el comercio portuario y la creciente población. Vilar ya no dejaría el tema catalán y en 1933 se instaló en Barcelona: en ese período, que dura hasta 1936 y el inicio de la Guerra Civil, se consolida su trayectoria, con publicaciones que lo iban revelando como un especialista en temas de geografía económica. En 1930 tuvo una beca para residir en la Casa de Velázquez de Madrid, aunque esa estancia no parece haberlo marcado como lo hizo la de Barcelona, a donde retornó: durante la Guerra, que coincide con el final del ciclo formativo de Vilar, concibe lo que será su tesis, para lo que fue escorándose hacia el siglo XVIII. No obstante, en los trabajos que publicaba o presentaba en congresos por entonces, dominaban los temas de actualidad, como el aprovechamiento hidroeléctrico de los ríos españoles, el papel de España en el comercio mundial del corcho, el puerto de Barcelona –en el que aparece una síntesis histórica de este–, la obra de Capmany y Monpalau “modelo de método histórico”, el tren y el problema general de los transportes en España, y un artículo destinado a Annales d’Histoire Économique et Sociale (1935) sobre la historia social de Cataluña. Rosa Congost sintetiza estas aportaciones de la primera fase de la producción vilariana, lo que permite ver su paso y evolución de la Geografía a la Historia y el progresivo conocimiento de la ciudad y del territorio gracias a la intensiva consulta de fuentes las bibliotecas y archivos de Barcelona.

7 El final del ciclo formativo de Vilar como historiador se produce de nuevo en Francia, debido al estallido de la Guerra Civil, de la que, con el tiempo, haría una historia breve. Vemos como en París colaboró con el Círculo de Cervantes, que pretendía agrupar a los intelectuales franceses que querían colaborar con los republicanos españoles, lo que revela el compromiso que Vilar había contraído. Estos años de intensidad política inusitada, en los que Hitler asomaba desde el horizonte alemán, no impiden que Vilar siga su propio avance como historiador: en 1937, cuando era profesor de secundaria en un liceo cercano a París, redactó dos textos sobre la enseñanza de la Historia que permiten seguir su pensamiento combativo en este campo; y dos artículos para la revista La Pensée “revelan sus posiciones críticas sobre la función social del historiador y sobre la historiografía española en aquellos años” (p. 327). Y sobre todo, en esos años, diseña lo que será su tesis, Cataluña en la España Moderna, con el objetivo de “juzgar” históricamente las relaciones Cataluña-Castilla, esto es, resolver la disyuntiva entre dos modos de entender la política y la articulación territorial, una tarea para la que, a diferencia de sus contemporáneos, se consideraba preparado y pertrechado; su Historia de España, cuya redacción confirmaba en una carta de 1939, sería un avance de su proyecto.

8 El libro termina con un epílogo extenso en el que la autora –que es catedrática de historia económica en la Universidad de Girona– no se limita a sintetizar el manantial de información y de ideas que aparecen a lo largo de la obra, sino que da sentido a esta como un ejercicio en el que se combina un análisis fino y pausado de la formación de un historiador con el trato personal que la unió a Pierre Vilar. Esa larga amistad y colaboración permiten a Rosa Congost organizar y orientar el nutrido conjunto de cartas que ha tenido la oportunidad de manejar, y comentar lo que el propio Vilar en su madurez pensaba del joven Vilar. Después del epílogo se aportan un glosario de términos, una cronología con los hechos clave de los años comprendidos en el libro y un extenso índice onomástico, tres complementos de gran utilidad para que los lectores puedan moverse con facilidad en un texto denso en nombres, fechas, lugares, conceptos, etc. Finalmente, es necesario decir que este libro tuvo su primera edición en catalán (Les lliçons d’historia. El jove Pierre Vilar, 1924-1939, L’Avenç, 2016) y que la traducción es obra de Ferran Esquilache Martí.

Ofelia Rey Castelao – Universidad de Santiago de Compostela, España. E-mail: [email protected].

Consultar publicação original

Cartas de Amílcar Cabral a Maria Helena: a outra face do homem – CABRAL et al (S-RH)

CABRAL, Iva; SOUTO, Márcia; ELÍSIO, Filinto. (Orgs.). Cartas de Amílcar Cabral a Maria Helena: a outra face do homem. Lisboa: Rosa de Porcelana Editora, 2016, 398 p. [Acervo fotográfico e fac-símile da correspondência]. Resenha de: FLORES, Elio Chaves. Documentos afetivos: cartas, amorosidades e revoluções no mundo Atlântico (1946-1960). SÆCULUM – REVISTA DE HISTÓRIA [36]; João Pessoa, jan./jun. 2017.

A expressão “mundo atlântico” está inscrita na modernidade de Áfricas, Europas e Américas. A modernidade empilhou documentos da economia política do capitalismo (Europa), da escravidão e da colonização (Américas), do tráfico diaspórico e do colonialismo (África). Tudo isso tornou possível que um jovem nascido na Guiné na década e 1920, que fez estudos básicos em Cabo Verde, nas décadas de 1930-1940, e que se encontrava em Lisboa depois da Segunda Guerra Mundial, em meio ao primeiro arrebatamento amoroso, registrasse indignação sobre os problemas raciais no Brasil da “democracia racial”. Agora publicados, esses documentos afetivos – Aqui me tens − totalizam cinquenta e três cartas à colega (1946-1948), namorada (1949- 1951) e esposa (1952-1960) Maria Helena, escritas nessas temporalidades amorosas.

Na carta de 28 de agosto de 1950, Amílcar Cabral escreve a Maria Helena a sua percepção sobre o lado de cá do mundo atlântico, esse é o tema da missiva, o racismo no Brasil:

Recebi hoje tua carta, bem como o recorte do Primeiro de Janeiro, referente ao problema ‘racial’ no Brasil. O República já tinha publicado a notícia e também o acontecimento relativo à bailarina negra, Katherine Dunham, e ao campeão de box, Joe Louis. É mais uma prova de que a ‘lepra’ dos preconceitos raciais grassa por todos os lados.

[…] Uma coisa, porém, é preciso atenção: não serão, nem poderiam sê-lo, as leis como as promulgadas no Brasil que resolverão o problema. Em muitos dos Estados Unidos da América existem leis análogas – e o negro é linchado ou escorraçado. A Constituição portuguesa é um dos mais belos documentos da igualdade dos homens, sem distinções ante o direito às benesses da civilização – e o negro em Portugal, é afastado do exército, da marinha, da Magistratura, etc. Leis do gênero da referida – quando não servem apenas para ‘deitar poeira nos olhos’, não conseguem mais do que amedrontar os racistas menos audaciosos ou menos poderosos, economicamente. Outras serão as que hão de extirpar de vez e para sempre o preconceito – e essas terão de corresponder a uma alteração profunda do complexo econômico-social do Mundo, base, afinal, dos preconceitos.

Por isso que essas leis − levarão o seu tempo, mas hão de ser realidade – não interessarão apenas aos Negros: interessam a todos os Homens. (p. 312-313) A carta de Amílcar é, a rigor, uma “carta pública”, pois de íntima tem apenas o vocativo da amada, depois da data, “Lena”. Amílcar cita várias vezes o antropólogo norte-americano Alfred Métraux ao tecer críticas aos eventos racistas no Brasil contra Katherine Dunham e Joe Louis que foram proibidos de se hospedar num hotel supostamente apenas para brancos na cidade de São Paulo2. Para Métraux, o racismo era um “mito novo”, justamente dos séculos da modernidade atlântica e que, para ele, talvez não sobrevivesse “à grande revolução da nossa época” – as sociedades contemporâneas que acabavam de inventar os direitos humanos. Amílcar também cita e destaca estudos da UNESCO/ ONU assinados por cientistas de vários países do mundo sobre as “diferenças” e a “história cultural” dos grupos humanos:

“Os fatores que tiveram papel preponderante na evolução intelectual do homem são a sua faculdade de aprender e a sua plasticidade. Esta dupla aptidão é o apanágio de todos os seres humanos”. Amílcar parece estar ciente de que o racismo é mito novo, da ordem capitalista e, mesmo do lado de cá do Atlântico, para superá-lo, haveria de se gestar “uma alteração profunda do complexo econômico-social do Mundo”. Nem Amílcar nem Maria Helena que se enfiaram de corpo e alma nas revoluções africanas e contra o regime racista português de Salazar, suportariam o “dogma racial” nos exílios da Guiné-Conacry e do Marrocos.

Desde que Amílcar Cabral e Maria Helena se conheceram a “linha de cor”, inexistente para a amizade, parece que acaba por condicionar as relações familiares e as sociabilidades acadêmicas. Se na primeira carta (07 out. 1946) Amílcar se despedia como “colega ente amigo”, o namoro assumido no ano de 1948 informa uma poética de amorosidades que precisa enfrentar o dogma racial. Na carta de 25 de abril de 1948, Amílcar lamenta a “falsidade de preconceitos nascidos de condições criadas pelo próprio homem, da teimosia (cega, aliás) num erro que hoje, dentro de limitadíssimas oportunidades, é denunciado pelas mais palpitantes manifestações das realidades, realidades que a Vida patenteia e a Ciência demonstra” (25 abr. 1948, p.91). Pelos argumentos da paixão e pelo que se dizia de sua “africanidade”, Amílcar se sente interpelado a se posicionar etnicamente e a se universalizar na condição humana.

Não sabem (eu gostaria de poder dizer-lhes) que sei que sou negro, isto é, que não sou caucásico ou mongoloide, mas que entre estas três raças existem diferenças apenas na cor da pele e em alguns traços fisionômicos; que tu sabes que sou negro e, mais do isso, que não é na cor da pele que reside o valor de um homem ou as características que poderão denunciar sua superioridade ou inferioridade perante os outros indivíduos.

Não sabem, Lena, quando dizem “Ela não aguenta”, que na realidade não tens nada que aguentar, a não ser, do meu lado, algum passageiro dissabor que naturalmente te adviria de qualquer homem, e, do lado dos descontentes, uma incompreensão facilmente destrutível, filha, aliás, da ignorância e da cegueira causadas por infundamentados preconceitos; que o teu amor por mim não é um amor de mártir ou de sacrificada, mas, sim, o amor de uma Mulher por um Homem, amor que dignifica e eleva. Eu gostaria de dizer-lhes, Lena querida, que a “linha de cor” é um mito que, felizmente, a Humanidade, sempre progressiva, vai afastando do seu seio, semelhantemente ao que sucedeu a muitos outros mitos. (25 abr. 1948, p. 91) Isso não é tudo. Amílcar precisa responder a uma questão ainda mais complexa, pois se refere à reprodução social da vida. É que o dogma racial se antecipa ao próprio evento social: “Que será dela quando tiver um filho” – negro, moreno ou mulato, nas expressões lisboetas. Lembremo-nos de Fanon: um negro castrado não é problema; a negrura estéril é utopia da brancura. A resposta que Amílcar deseja que Maria Helena distribua a esse tipo abjeto de constrangimento racial é mundana: “Não sabem, Lena, que à pergunta ‘Que será dela quando tiver um filho’, tu poderás responder, muito singelamente que serás uma Mãe. Mas uma mãe consciente da sua missão, integrada nos problemas da Vida – e que saberá preparar, no Mundo e para o Mundo, os seus filhos” (25 abr. 1948, p. 91).

Noutra carta, do dia 20 de agosto do mesmo ano, Amílcar deixa transparecer na narrativa certo aborrecimento sobre a mesma questão que aparece reiterada na correspondência de Maria Helena, “às pessoas que te dizem coisas mirabolantes por causa da cor da minha pele”. Ele reitera que “o mito das raças é apenas um mito” e, taxativo, escreve: “Desde que sejamos absolutamente conscientes da nossa posição dentro do sério problema da nossa vida” (20 ago. 1948, p. 135). Essa longa carta, carregada de tensão e desejo, também define a confissão do “chamamento africano”, a justificativa para o retorno ao continente de origem: ”Mas tu sabes, como eu, quais as forças que me chamam pra a África, forças a que não resistirei, porque seria trair me, trair a própria vida”. Amílcar repassa para Maria Helena as contingências africanas e o faz na estilística da verve colonial, como se voltasse como herói civilizador, para “lá, onde pouquíssimo ou nada ainda se fez”; ou, “lá, onde a Técnica e a Ciência ainda são sombras”; ou, “lá, onde a vida me chama”. Trata-se de uma decisão que é comunicada à luz dos eventos relacionais envoltos na subjetividade da linha de cor. Assim foi narrado: “Hoje, já que as circunstâncias mo exigem, quero dizer-te que, se totalmente impossível, tu não me acompanharás. Mas eu tenho de ir.

Acabado o curso, eu só ficarei na metrópole, se de todo não puder seguir para África”. Depois, passa a explicar o sentido dessa decisão: “Não conto viver toda a minha vida lá, nem espero viver no sertão, longe dos grandes centros [que designou antes como cidades progressivas e belas do litoral]. Conto apenas viver parte da minha vida em África e dar, com toda a boa vontade de que for capaz, em todo o amor imenso que em anima, o meu esforço no sentido de fazer alguma coisa pelas gentes africanas, pelos homens, afinal”. O final do parágrafo é denotativo de um manifesto: “Quero dizer: subordino-me conscientemente a esta contingência da vida:

tenho de ir para África”. A leitura dos últimos dois parágrafos da carta permitem adjetivar esse manifesto de amoroso: “E viverão juntos [os dois enamorados] na terra onde a vida lhes oferece maiores horizontes no sentido de serem úteis à Humanidade.

E creio que tu concordas comigo que esse local, para nós e porque eu sou um desses indivíduos, deve ser a África”. Ao finalizar, duas verdades emolduram a missiva:

“uma, é que tenho de ir para a África; outra, Lena, a outra é esta: Eu amo-te” (20 ago. 1948, p. 137-138). Nas cartas seguintes, Amílcar reconhece o tormento, a tensão e a necessidade da “consciência coletiva vencer a individual”. Na carta de 26 de agosto ocorre a citação da resposta de Maria Helena: “resolvi deixar tudo para te ajudar e seguir-te” (26 ago. 1948, p. 175). É vida que segue3.

Na carta de 23 de agosto de 1950, uma semana antes da referida carta em relação aos eventos raciais no Brasil, Amílcar narra ironicamente o caráter burguês do bairro lisboeta onde estava residindo. O tropos da ironia para vituperar a classe burguesa será uma das expressividades de Amílcar. Ele informa que fixou residência à Av. Casal Ribeiro, num meio termo entre os bairros de Alcântara e Bairro Azul. Dizia que mais abaixo se encontravam Casal Ventoso e a Fonte Santa “e todas as demais imundícies que a injustiça social criou e alimenta”. A pobreza ao longe e o modo de vida burguês na sua proximidade:

interessante, mas o ar que se respira é demasiadamente burguês para nos deixar saborear a beleza das suas árvores centrais. Sim, demasiadamente burguês. Ali, defronte, as janelas eternamente fechadas: a ‘madame’ está na praia, como não podia deixar de ser. À tarde, meninas anêmicas e olheirentas penduram-se à janela, na linha dos cabelos propositadamente desprendidos atiram a isca de um olhar à Dorothy, condimentado pelo batom berrante. A mamã, rechonchuda e metafísica, de vez em quando vem à janela, observa a ‘pesca’ e palita os dentes, ruminando os detritos do ‘bombom’ que o papá-dinheirudo ofereceu, certamente uma compensação da última façanha extralar ou intracabret. (23 ago. 1950, p. 307)

Esse olhar crítico à cultura burguesa – às amorosidades burguesas – ironizada em 1950, ganha ares de indignação na única carta do início de 1951, na qual Amílcar se insurge contra as comemorações cristãs de passagens do ano: “O que espanta nesta decantada Civilização Cristã – é o cinismo comum às manifestações mais vulgares. Um cinismo tremendamente hipócrita, uma hipocrisia tremendamente cínica. Feliz Ano Novo” (03 jan. 1951, p. 329-330).

Amílcar Lopes Cabral (1924-1973) e Maria Helena de Ataíde Vilhena Rodrigues (1927-2005) se casaram no dia 21 de dezembro de 1951, afirmando um namoro interracial começado no Instituto Superior de Agronomia, quando eram colegas de faculdade, desde o ano de 1946, numa Lisboa salazarista e ainda “metrópole” de colônias portuguesas em África. Amílcar Cabral era filho de Juvenal Cabral e de Iva Pinhel Évora, ambos nascidos em Cabo Verde e que se encontraram na Guiné no início da década de 1920. A Guiné propiciou trabalho a Juvenal que se tornou funcionário administrativo, professor e comerciante. Sabe-se que Iva Évora chegou à Guiné aos 29 anos com um filho e, em seguida à relação amorosa com Juvenal, deu à luz ao segundo filho, Amílcar, no dia 12 de setembro de 1924, em Bafatá, na região central da Guiné. Maria Helena era filha de Joaquim Rodrigues e Carlota Ataíde Vilhena, nascidos e radicados no norte de Portugal. Carlota Ataíde deu à luz a Maria Helena em Chaves – Casas Novas, no ano de 1927. O pai de Maria Helena era capitão médico do exército colonial e há notícia de que foi gravemente mutilado numa das campanhas da África.

Para nós, brasileiros, que a cada três frases, pelo menos numa louvamo-nos como agentes das mestiçagens modernas, mas pouco toleramos amores entre homens negros e mulheres brancas, o conteúdo epistolar desses “documentos afetivos” – as cartas de Amílcar Cabral a Maria Helena – escritos na temporalidade 1946-1960 podem inspirar algumas reflexões sobre os casamentos interraciais e seus desdobramentos político-afetivos no mundo atlântico contemporâneo, isto é, a segunda metade do século XX. Talvez seja preciso concordar com Frantz Fanon que, em Pele Negra, Máscaras Brancas (1952), defendeu a ideia, num capítulo seminal, de que “é preciso falar mais longamente das relações possíveis entre o negro e a branca”.

Casas características nitidamente princípio do século, grandes prédios em linha impecável, esta Avenida é na realidade O primeiro semestre de 1952 foi de preparativos para a viagem de retorno à África. No mês de setembro acontece a viagem. Em carta escrita a bordo da embarcação, “Atlântico, a 12 horas de Cabo Verde, em 17/9/52”, Amílcar se prepara para rever Cabo Verde e, depois, chegar à Guiné, destino que aguardará, também, Maria Helena. Essa carta é expressiva do que estamos chamando “mundo atlântico”.

Embebido pela viagem, Amílcar observa para Maria Helena: “Hás de notar que o movimento constante do mar é o reflexo de um exemplo de movimento constante de tudo quanto existe”. Nesse estado de espírito, de rever Cabo Verde e, em seguida, rever Iva, a mãe, na Guiné, sabe-se da gravidez da Maria Helena: “Porque será que eu já não sei pensar a Iva sem pensar-te?”. Os planos nessa África atlântica não cessam e se a vida e o trabalho não vingarem na Guiné deveriam “abalar para Angola”. O Atlântico narrado por Amílcar não é o da Grande Travessia – a trágica Middle Passage – dos negreiros da modernidade atlântica, esse Atlântico “amilcariano” é uma espécie de passagem da promissão, uma vida adulta em África que se pretendia plena.

O mar, sempre em movimento, é um manto azul, salpicado de branco. Pequenas vagas que se formam e se desfazem no próprio seio do mar. Espumas. Um cardume-bando de peixes voadores que se assustou com o monstro do ferro, e levantou voo. Ali, à esquerda, há uma estrada de prata levando ao horizonte: o reflexo do sol no mar. A conga continua, dançando o navio ao som da sua música íntima e monótona: o motor que geme. Eu, aqui, esperançoso e esperançado, escrevendo para ti, falando contigo. Ouvirá o que não digo.

Sentirás o que sinto. […] Eu incompleto, chegando. (17 set.1952, p. 337-39) Na carta do dia 24 de setembro, na Guiné, Amílcar informa sobre o trabalho, a casa, a mobília, a granja, o emprego e os preparativos para a viagem e a chegada de Maria Helena. Apresenta a Guiné como projeção de africanidade emancipada: “A natureza aqui, apesar de tudo quanto opiniões metafísicas podem apontar, convida ao trabalho e à conquista no sentido da ‘vivificação da vida’. Se alguma certeza eu tenho – oh, se tenho certezas! – é a de que gostarás disto. Da terra e dos povos, das coisas e das gentes” (24 set. 1952, p. 348).

Não é possível saber da chegada de Maria Helena, o nascimento da primeira filha e os seus desdobramentos pela ausência de cartas, apenas uma no ano de 1953 e nenhuma no ano de 1954. Mas no ano de 1955 veremos Amílcar em viagem para São Tomé e depois para Angola. Decepciona-se com Luanda e o racismo intrínseco do fato colonial – “Isto de Luanda que estou a conhecer”, dirá consternado, “é das coisas mais miseráveis que imaginar se pode em matéria de ambiente colonial”.

Amílcar conta o que seus olhos avistam e compara realidades coloniais africanas.  Trata-se de uma visada sociológica impressionista:

Há muitos prédios em construção, é certo, mas que valem os prédios, se os homens ‘vivem’ deploravelmente? Além disso, como cidade, coitadinha de Luanda aos olhos de Dakar, por exemplo. E coitadinhos dos indígenas destas paragens, aos olhos da gente da Guiné, sim, da Guiné dita portuguesa. Uma miséria, Lena. Só para pensares, fica sabendo que aqui, os choferes de táxi, os criados de hotel, restaurantes e cafés, etc. a raia miúda da sociedade é constituída por europeus.

Calcularás por certo quais as posições e as situações que restam (mas o que poderá restar?) para os africanos. Miséria de todos os tamanhos. Para brancos e pretos. Racismo do mais sujo, com sorriso nos lábios, só para os pretos. Enjoado, Lena. Mas a esperança e a certeza de que afora de tudo, o mundo marcha. Há de caminhar para a redenção na terra destes seres que por aqui vegetam e que são homens de coração e de cabeça.

[…] Passam crianças pretas sujas, mal vestidas. Parecem negros tristes e sem esperança. Passam brancos ricos, bem postos, de espada, e também brancos miseráveis. Eu penso em ti e na Mariva. (30 ago. 1955, p. 365)

São nas cartas de 1955 que, ao final, Amílcar passa a se referir, também, a Mariva – Iva Maria, a primeira filha. Parece aumentar a recorrência à “linha de cor”. Nesse caso, a linha de cor, sofisticada na metrópole e na academia, salta aos olhos no espaço colonial: “Passam negros tristes e sem esperança. Passam brancos ricos, bem postos, de espada, e também brancos miseráveis. Eu penso em ti e na Mariva”.

Pensar “raça” com Maria Helena e Mariva é universalizar a si mesmo, mas pensar “classe” amedronta o futuro. Vide que, aqui, é a “linha de classe” – ricos e pobres – que divide também os brancos. A experiência Angola/ Luanda fixa uma ambiguidade amilcariana que era apenas verve quando glosa do bairro burguês lisboeta da carta de 23 de agosto de 1950. Agora ele começa a trabalhar nessa dimensão: raça e classe, isto é, o fato colonial. Nas cartas seguintes, em que conhece outras cidades angolanas, Amílcar anuncia uma posição: “Lobito e Benguela são razoáveis. Mas a miséria continua. Miséria contra a qual hei de lutar” (01 set. 1955, p. 369).

Na carta de 10 de outubro de 1955, escrita em Catumbela, próxima de Lobito, Amílcar fala entusiasmado da leitura de Jorge Amado. Recheados na carta, copiados entre aspas, constam vários trechos da obra, mas não se menciona o título. Amílcar apenas diz: “Vou no 2.º volume e do primeiro vou transcrever-te umas passagens, belas de verdade pela poesia que encerram”. Essa pista leva à trilogia, Subterrâneos da Liberdade (São Paulo, Livraria Martins Editora, 1954)4. As passagens são aquelas dos enamorados, João e Mariana, operários que também se casam “por uma vida melhor”. Amílcar se inspira em várias literaturas e não seria exagero se falar de um Atlântico das letras. A prosa engajada de Jorge Amado parece empolgar o missivista para o advento da luta revolucionária e, ele mesmo, vê analogias entre a história de amor, ficcional do lado de cá, mas realista do lado de lá: Amílcar e Maria Helena. O primeiro volume, Os Ásperos Tempos, recebe um tratamento de poética de amorosidade à primeira leitura. Amílcar lê o Brasil da “democracia racial” pela narrativa de Amado:

Operários e camponeses, ‘coronéis’ e banqueiros, luta, flor.

Luta subterrânea, na legalidade e na ilegalidade, buscando em cada gesto, em cada pensamento, a estrela que a penumbra não pode esconder, gerando sob e sobre a lama dum presente de crianças famintas, o porvir de todos os homens. A hipocrisia e o cinismo desenfreados, o interesse, o estômago dominando o coração e o cérebro, a lealdade mais bela, a solidariedade transformada em atos vividos em cada instante, o desinteresse pessoal numa luta impessoal mas coletiva. E sobre esse mundo brasileiro de 37 a 40 [1937- 1940], a luz do luar e a luz do sol, do luar do amor e da esperança num céu grávido de estrelas, do sol nascendo da terra, das entranhas da terra, do coração dos homens e das mulheres que lutam, do olho simples e interrogativo das crianças desamparadas. O amparo nascendo do desamparo, a certeza gerada da incerteza, a luz brotando da escuridão. Só o amor, esse é o livro de Jorge Amado. Um livro dos homens, um livro para nós todos, na imensidão do seu amor e da sua esperança. Da sua certeza. (10 out. 1955, p. 373-374)

Pode ser que desse “céu grávido de estrelas”, nos dois lados do Atlântico, nasça algo parecido com a revolução da justiça e da igualdade. Na carta seguinte, Amílcar se acha “um pouco gongórico”, pois na medida em que se enfia no “sertão” angolano, mais necessidade de mudança ele sente para a África: “Campos de sisal por todo o lado. Nem uma parte da terra para o indígena cultivar. Exploração dos diabos. O que vale e consola e anima é que isso tudo vai mudar, vai acabar – oh se vai! – para a ressurreição da vida nestas paragens” (31 out. 1955, p. 378). Entretanto, dois anos depois, as vicissitudes econômicas do cotidiano, os problemas de saúde de Maria Helena e os seguidos deslocamentos pela Guiné, incitam uma frase lapidar, quase como súplica: “Que haja a compreensão e a paz racional que é a única mesologia adequada às nossas consciências” (21 out. 1957, p. 387).

A última carta é de 1960 e trata da guinada revolucionária. Desse lapso epistolar de dois anos o leitor nada saberá. A vida pública e a impossibilidade de servir ao Estado salazarista e aos empreendimentos coloniais parecem “apressar” uma possibilidade que vinha desde 1955 – “Não renuncio seja ao que for, mas penso que se impõe traçar um caminho seguro”. Escrita de Paris, Amílcar está imerso nas atividades revolucionárias. O plano está traçado: “Tenho na algibeira a passagem para a viagem definitiva. Tenho também a ordem das passagens para ti e para Mariva, que ficarão aqui depositadas em teu nome e à tua disposição”. Várias recomendações são elencadas para Maria Helena tomar providências: a papelada e os livros deveriam ser enviados para Dakar – Senegal; vender a mobília da casa e o carro; levar apenas as roupas e as coisas pessoais necessárias; transferir o dinheiro e economias para Londres; arrumar escola para Mariva; ajudar as mães de cada um, Carlota e Iva; ordens aos companheiros, resolver casos de hipoteca e cooperativa; enfim, “tudo o resto, inclusive o gato Mico”. O término da carta indica a “nova” vida, a vida revolucionada e pela revolução: “Por hoje, paro aqui. Cheio de saudades.

Talvez de ansiedade também. Mas cheio de esperanças no futuro, na vida que vamos construir. E a certeza, a consciência, a alegria de que esta carta é talvez a mais bela carta de amor que já te escrevi” (30 abr. 1960, 391-394). Ainda em 1960: Maria Helena e Mariva ficam oito meses em Paris. Amílcar Cabral adota o nome da clandestinidade, Abel Djassi. O decorrer do ano de 1960 é vida em profusão: Amílcar/Abel escreve ensaio sobre o colonialismo português; organiza quadros e escola de formação revolucionária na Guiné-Conacry; vai à China comunista; tornase a principal liderança do PAIGC – Partido Africano da Independência da Guiné e Cabo Verde; no mês de dezembro, o comitê do partido lança o informativo do movimento emancipacionista: Libertação. Amílcar Cabral organiza a luta e continua a escrever5.

A cuidadosa edição epistolar de Amílcar Cabral, com a adição de importante acervo fotográfico e a impressão fac-símile de cinquenta e três cartas escolhidas desloca do espaço privado para o campo da história política o cenário e a trajetória de formação e práxis revolucionária de umas das expressões do marxismo negro. As cartas, que podem ser definidas como poéticas de amorosidades compartilhadas, não deixam de narrar experiências de racismo, africanidades e vontades criadoras numa África que se pretendia emancipada do fardo colonial. Assim, um “patrimônio privado”, carregado de afetividades, foi possível ser disponível para um vasto público leitor graças ao projeto de edição coordenado pela historiadora Iva Maria Cabral, primeira filha de Amílcar Cabral e Maria Helena, pesquisadora da “história racial” em Cabo Verde e autora da tese de doutorado A Primeira Elite Colonial Atlântica: dos “homens honrados brancos” de Santiago à “nobreza da terra” – Final do século XV – Início do século XVII (Praia: UCV, 2013). Antes do “Aqui me tens” – o corpus epistolar − uma primeira parte, constitutiva de “considerações, apresentações e prefácios”, converge para a escrita e o casal protagonista. Os editores, Márcia Souto e Filinto Elísio, na apresentação “Triunfar sobre a morte vulgar ou considerações acerca da edição do livro Cartas de Amílcar Cabral a Maria Helena: a outra face do homem”, acertaram na metodologia de edição, ao proporem, em vez de anexos que se tornam irrelevantes, “acompanhar cada transcrição com seu respectivo original, de modo a propiciar ao leitor não só o acompanhamento, no calor da leitura, do texto manuscrito (o papel, a letra e os estados de alma, elementos que possam vir a revelar mais acerca do autor no momento da feitura da carta), mas também para facilitar alguma atenção especial que os leitores possam ter em relação a alguma passagem e facilitar o contato mais próximo com o texto autógrafo” (p. 13).

Pedro Pires, companheiro do autor das missivas nas lutas de libertação e atual presidente da Fundação Amílcar Cabral, assina o prefácio “Convergência no tempo e nos propósitos” (p. 19-24) onde se surpreende pela ausência da correspondência de Maria Helena, “desconhecemos a plenitude das suas cartas e das suas respostas aos apelos e interpelações do Amílcar”. Essa diluição da voz feminina nalgumas citações da escrita masculina não se coaduna com os avanços notáveis das teorias feministas desde que Maria Helena se tornou uma das primeiras engenheiras agrônomas formadas numa faculdade portuguesa. O olhar atento de Pedro Pires vê em “Lena” a confidente e depositária das ideias e reflexões de Amílcar Cabral, mas que, “por vezes, o diálogo ganhava a força de um monólogo em que martelava e repetia as ideias quase que se dirigindo a si próprio”. Pires atenta para cinco momentos reveladores das cartas que permitem acompanhar a trajetória e formação revolucionária do sujeito apaixonado. O primeiro foi o enfrentamento do racismo ao se relacionar com uma mulher branca. O segundo dizia respeito à questão ética das relações humanas e da política. O terceiro implicava a defesa da dignidade humana e as responsabilidades sociais frente às injustiças e desigualdades econômicas. O quarto, talvez o mais pragmático, seria o “chamamento africano” como se fosse um destino traçado em lutar pela emancipação dos povos africanos, notadamente os da Guiné e de Cabo Verde. Por fim, o quinto, narrado na última carta, configura “o fim do ciclo da vida privada” e a consequente “partida para o desconhecido e o incerto” com uma pitada de fé na “vitória sobre o colonialismo”.

A pesquisadora Inocência Mata, no ensaio prefacial, “As cartas de Amílcar a Maria Helena como documento expressivo na construção de uma narrativa coletiva” (p. 27- 33), defende a hipótese que as cartas formam “um duplo espaço biográfico” do emissor e da destinatária, ainda que estejam ausentes as “respostas físicas” de Maria Helena. A autora pontua que embora a função prevalecente nas cartas seja a “razão emotiva” o livro se constitui como “filigrana documentativa de um tempo ainda presente na memória coletiva, vale dizer, no caso, (trans)nacional (pelo menos Guiné- Bissau, Cabo Verde e Portugal) – e nisso consiste o interesse público e institucional deste acervo”. Outra apresentação das cartas, “História em Dueto” (p. 37-40), assinada por Carlos Lopes, organizador do importante livro Desafios Contemporâneos da África: o legado de Amílcar Cabral (São Paulo: Editora da UNESP, 2012) e atual secretario executivo da comissão econômica das Nações Unidas em África, observa que desde a primeira carta, datada de 1946, aparece “uma personalidade vocacionada para fazer história”. Lopes enfatiza um percurso, “indivíduo e sociedade”, perceptível no suporte carta, “documento afetivo”, que presumivelmente seria o espaço para a “vivacidade poética” e o “arrebatamento amoroso”. Lopes também lamenta ficar “sem acesso às cartas de Helena”, mas defende que a “história em dueto” seria também aquela protagonizada por Maria Helena, “a de Amílcar e a de África”.

Bem, já que decidimos apresentar a “primeira parte” ao final desta resenha, voltaremos, para concluir, à carta do dia 21 de outubro de 1946, a segunda do corpus, na qual Cabral escreve para uma já notada colega de faculdade, ela então com 19 anos e, ele, recém-chegado a Lisboa, com 22 anos: “Bem: já vou longe…

Retorno, e respeito o pouco tempo de que dispõe, cara colega. A propósito do tempo de que dispõe: eu queria escrever no princípio: Leia quando tiver tempo, mas só o faço no fim. Quantas vezes, na vida, o fim não é o princípio?” (21 out. 1946, p. 47).

Aqui me tens! Do privado para o público. Entretanto, segundo as teorias feministas, o privado é público e o pessoal é político. Então, além do que expressamos como documentos afetivos, esse conjunto de cartas não seria também um patrimônio?

Notas

2 A antropóloga norte-americana Irene Diggs também foi discriminada num hotel do Rio Janeiro, por essa mesma época. Alguns casos “internacionais” repercutiam na imprensa, mas as práticas racistas institucionais e nos estabelecimentos comerciais, clubes e escolas eram diárias assim como a ausência da população negra do processo político brasileiro. Para essa discussão no contexto 1945-1960, ver: NASCIMENTO, Elisa Larkin. O sortilégio da cor: identidade, raça e gênero no Brasil. São Paulo: Selo Negro, 2003, p. 221-280.

3 A última carta de agosto é um relato “historiográfico” dos acontecimentos da África do Sul e da institucionalização do regime de segregação racial com a vitória do Dr. Malan, adepto do fascismo europeu, nas eleições de 1948. Amílcar anota o aspecto positivo de alguns casamentos interraciais na África do Sul (29 ago. 1948 p. 193-195). Em setembro vai para Coimbra e se encanta com a cidade, onde “sente-se toda a alma portuguesa” (12 set. 1948, p. 231). O ano de 1948 contém o maior número de correspondência: 31 cartas. Não foram escritas cartas no ano de 1949, mas aparecem três sonetos, dois dedicados a Maria Helena e um para a mãe, Iva Évora. Em abril de 1950, carta enigmática sobre a morte, onde Amílcar pensa duas mortes, a vulgar, “cessação do fenômeno vital”, e a outra, uma espécie de “morte social” (p. 275-278). Na carta de 18 ago. 1950 Amílcar estuda o “africanista” Maurice Delafosse e o poeta negro cubano Nicolás Guillén (p. 302-304).

4 Os volumes são: Os ásperos tempos (1.º), Agonia da noite (2.º) e A luz do túnel (3.º). As citações que Amílcar envia para Maria Helena são do primeiro. Publicados em São Paulo, pela Livraria Martins Editora, a trilogia Os Subterrâneos da Liberdade ficcionaliza o Estado Novo (1937-1945) em três momentos, a partir da “voz” de um membro do Partido Comunista Brasileiro: a instauração da ditadura; a greve dos estivadores do porto de Santos; e, a perseguição aos comunistas. A edição mais recente da trilogia, no formato original, isto é, em três volumes veio a lume também em São Paulo (Companhia das Letras, 2011). Parece provável que Amílcar tenha adquirido a obra de Jorge Amado em Luanda, pois essa disponibilidade da literatura brasileira em Angola vinha desde os primeiros modernistas. Conferir: MADRUGA, Elisalva. Nas trilhas da descoberta: a repercussão do modernismo brasileiro na literatura angolana. João Pessoa: Ed. Universitária/ UFPB, 1998.

5 Quase a totalidade dos escritos políticos de Amílcar Cabral foi publicada numa primeira edição, em 1977, em dois volumes, sob a coordenação de Mário de Andrade, seu biógrafo angolano e também intelectual ativista das emancipações africanas, especialmente de Angola. Depois disso, a obra foi republicada. Ver: CABRAL, Amílcar. Unidade e luta: a arma da teoria. Vol. 1; Unidade e luta: a prática revolucionária. Vol. 2 (Obras Escolhidas). Praia: Fundação Amílcar Cabral, 2013.

Elio Chaves Flores – Doutor em História pela Universidade Federal Fluminense. Professor Associado do Departamento de História e Docente Permanente dos Programas de Pós-Graduação em História e Direitos Humanos da Universidade Federal da Paraíba. Pesquisador do CNPq – PQ-2 (Área de História Moderna e Contemporânea). E-mail: <[email protected]>.

Acessar publicação original

[MLPDB]

R. G. Collingwood: A Research Companion – CONNELLY et al (IJHLTR)

CONNELLY J R G Collingwood A research companion R. G. CollingwoodCONNELLY, James Connelly; JOHNSON, Peter Johnson; LEACH, Stephen. R. G. Collingwood: A Research Companion. London: Bloomsbury, 2015.  293p. Resenha de: HUGHES-WARRINGTON, Mamie. International Journal of Historical Learning Teaching and Research, London, v.13, n.2, p.14-15, 2016.

In 1992, I became the fortunate owner of a small photocopied guide to the R. G. Collingwood papers in the Bodleian Library, Oxford. This much-thumbed, much-annotated booklet became the first item in a collection of transcriptions and notes that soon spilled over the limits of a single folder and settled into a row of boxes that continues to grow today.

Such was the lot of a researcher on the life and works of Robin George Collingwood (1889– 1943), philosopher, archaeologist, historian and luminary of Oxford University in the first half of the twentieth century. Until now. Connelly, Johnson and Leach’s companion for researchers admirably fulfils its aims of providing a comprehensive and systematic listing of materials by and on Collingwood and of placing those materials in the context of a detailed chronology of his life (p. 2).

The book is helpfully divided into eight sections, covering a biography, a chronology of life events, letters, unpublished and published works by Collingwood and his commentators and details of the many archive holdings. The largest section – a description of correspondence – is arguably the most helpful, for the volume and scattered nature of holdings provides a considerable challenge to any budding researcher. The chronology is also a powerful aide to understanding Collingwood’s battle with failing health, which he describes rather poignantly in a 1941 letter to Christopher Hawkes as the time ‘since the superincumbent sword of Damocles became clearly visible, and here I am driving a pen, though not well’ (p. 137).

To those who would argue that it is an important rite of passage for new researchers to find materials for themselves, the simplest rebuttal is that comprehensive aids for research assist in the development of a comprehensive and nuanced understanding of the ideas and life events of individuals and groups. Moreover, they minimise the risk of misunderstandings that arise from not having considered particular materials, protecting students, early career researchers and those interested in Collingwood because of his connections to others from the dreaded ‘but you haven’t read x’ of the experienced Collingwood researcher.

There is a little to quibble about the book. The biography (pp. 3–6) gives the reader little sense of The Idea of History as a posthumous collection brought together by Collingwood’s student, T. M. Knox, or of the significant discovery in 1993 of missing chapters from The Principles of History in the basement of Oxford University Press. The published Collingwood is only the tip of an extensive manuscript collection that shows the evolution of his thought at work.

Nor does the book give the reader a sense of what to expect when they see a Collingwood manuscript for the first time. Collingwood’s handwriting is far from challenging as far as philosophers go, and his use of recycled exam scripts provide a helpful reminder of the Oxford in which he worked. But readers do need to be warned about his liberal use of ancient Greek terms, as well as his predilection for quoting from poems without noting their source. What was customary intertextual reference in Oxford of the 1930s can take the present day reader by surprise, and the best remedy is to begin with the revised editions of Collingwood’s philosophical work – starting notably with David Boucher’s edition of The New Leviathan (1992) – as they contain transcriptions and explanatory notes to a significant group of manuscripts.

Finally, the collection does not explicitly give the reader a sense of the balance of Collingwood’s interests in toto, as distinct from a year-by-year summary. This is a significant gap, as an analysis of the Collingwood corpus can remind us not to pass over his contributions to aesthetics when we see the vast lists of writings on archaeology, metaphysics and the philosophy of history.

But these are minor quibbles, and given the significant opportunities for research posed by a still largely untapped group of writings, this Research Companion is a welcome introduction to those new to Collingwood studies.

Marnie Hughes-Warrington – Australian National University, Australia. E-mail: [email protected].

Acessar publicação original

[IF]

Destinatário: Felte Bezerra. Cartas a um antropólogo sergipano (1947-1959 e 1973-1985) – DANTAS; NUNES (PL)

Em 2009, o recém-criado Núcleo de Pós-Graduação e Pesquisa em Antropologia (NPPA) convidou a antropóloga e Professora Emérita da UFS Beatriz Góis Dantas para ministrar a aula inaugural para a primeira turma de pós-graduandos, que versou sobre a trajetória acadêmica de outro antropólogo sergipano: Felte Bezerra. Embora a velha e básica lição da Antropologia nos ensine que só podemos nos situar no mundo enquanto “eu” a partir de um “outro”, daí ser necessário conhecer esse “outro”, não devemos nos esquecer de quem somos. Sendo assim, nada como começar o primeiro ano letivo debatendo sobre os pioneiros da Antropologia em Sergipe.

Nesse ano, a mencionada professora, em parceria com a professora da UFS e diretora do Museu do Homem Sergipano, Verônica Maria Menezes Nunes, trazia à luz para a comunidade acadêmica a obra Destinatário: Felte Bezerra – cartas a um antropólogo sergipano (1947-1959 e 1973-1985). Leia Mais

The Life Writings of Mary Baker McQuesten, Victorian Matriarch – ANDERSON (CSS)

ANDERSON, Mary J. (Ed.). The Life Writings of Mary Baker McQuesten, Victorian Matriarch. Waterloo, ON: Wilfred Laurier University Press, 2004. 337p. Resenha de: CLARK, Penney. Canadian Social Studies, v.41, n.1, p., 2008.

This fascinating book traces the both ordinary and extraordinary life story of Victorian matriarch, Mary Baker McQuesten (1849-1934). It is part of the life writing series published by Wilfred Laurier University Press, which is intended to promote autobiographical accounts, diaries, letters and testimonials written and/or told by women and men whose political, literary, or philosophical purposes are central to their lives (ii).

Editor, Mary J. Anderson has divided the book into four parts. Pa5rt One is a biography of Mary Baker McQuesten. Part Two describes her work with the Presbyterian Missionary Societies and includes selections from her Missionary Society Addresses. Part Three situates this family story within a broader narrative of Victorian middle-class urban life in Canada. The final section, which is the most lengthy by far, is a collection of primary source materials: selections from the collection of 1000 letters extant in Mary Baker McQuestens hand, her eulogy, and excerpts from her will. There are also extensive and scholarly footnotes. The written text is accompanied by a charming collection of family photographs, including several of Whitehern, the family home in Hamilton, Ontario.

The editor deliberately sets out to make her task transparent, describing her discovery of the source materials and decisions she made as she used them to construct her account. The letters in this collection are unusual in that they seem to have been consciously written with posterity in mind. After they circulated among family members, they were collected and carefully stored. The letters and other papers, as well as the family home, were bequeathed to the city of Hamilton in 1968 by Marys last surviving child, Calvin, so that everyone may enjoythe beautiful rooms of Whitehern and eat their lunches in its pleasant garden (67). The home is now a museum and archives. The editor notes that it is a virtual time capsule because little beyond the essentials was changed after the family became impoverished in 1888. Even the garden has been maintained in its 1930s state, when Marys son Tom undertook a major landscaping project.

Whitehern was the family home for 116 years. The stately home was purchased by Dr. Calvin McQuesten, a wealthy industrialist, in 1852. The following year, Mary Baker married Calvin McQuestens son, Isaac. Isaac was a successful lawyer and received a large inheritance, which included Whitehern, at his fathers death in 1885. However, at the time of Isaacs own death three years later, of an apparent suicide, he was bankrupt. At his death, thirty-eight year old Mary and their six living children, who were between the ages of fourteen and three, went abruptly from wealth and ease to genteel poverty. Fortunately, the house had been placed in trust for Mary and she and the children were able to remain living in it. The family state of genteel poverty continued for twenty years.

As the editor points out, the most vital recurring themes in her writings are those of family finances, health, education, the Presbyterian missionary societies, and Victorian society and culture (52). She adds they also reveal the gradual development of the character of Mary Baker McQuesten from a privileged young matron into a powerful matriarch and a forceful social activist (52). Mary was very active in the public sphere, assuming executive positions in Womens Missionary Societies and traveling throughout Ontario and the western provinces to establish auxiliaries or to inspect missions. She was also a member of the National Council of Women and was instrumental in the establishment of a local chapter of the Young Womens Christian Association (YWCA).

Marys six children did not marry. The two eldest daughters, Mary and Hilda, lived out their days caring for home and family. Older son, Calvin, spent most of his working life as a semi-volunteer chaplain at the Hamilton Mountain Sanatorium for the treatment of tuberculosis. He suffered from what seems to have been an inherited family tendency toward mental depression. Daughter, Ruby, worked as a teacher long enough for her brother, Tom, to complete school with her financial assistance. She then succumbed to tuberculosis and spent much of her time in sanatoriums until her death at age thirty-two. Edna had several mental breakdowns, eventually receiving shock treatments and a partial lobotomy. Second son, Tom, blessed with energy and good health, became a successful lawyer and well respected politician, honoured for his active participation in the city beautiful movement. Among his lasting accomplishments are his substantial involvement in the relocation of McMaster University to Hamilton, the building of the Niagara Parkway and Parks system, and the rebuilding of several forts in the Niagara peninsula.

As a reader, I confess that I was unable to arouse as much sympathy toward Mary Baker McQuesten as the editor seemed to have. There is no doubt that she was a loving mother and an intelligent woman with indomitable courage. She contributed both within her own family circle and to the larger society. However, as I read, I puzzled about her children, who, with the possible exception of her younger son, Tom, led curiously thwarted lives. There is no doubt that only the cruel hand of fate can be blamed for a part of this outcome. However, it is intriguing to contemplate the role that Mary played in their lives. For example, given the archival information with which Anderson acquaints us, there can be no question that she intervened in the romances of daughters, Hilda and Ruby, and son, Tom. I also could not help think about her two eldest daughters and how they spent their lives running the household. In fact, it was their support in the domestic sphere that allowed their mother to engage so enthusiastically in the public domain. She apparently made a deliberate decision, upon her husbands untimely death, that this was the way it was going to be, and so it was. She ran her adult childrens lives down to the most minute details; even advising her adult son, Calvin to rub the [toilet] seat as hard as possible with paper (170) when forced to use public washrooms. On one occasion, she wrote to her son, Tom, we pray God that he will mercifully spare you as long as my life lasts adding as an afterthought, That sounds selfish does it not? (202). Perhaps it does, just a little.

Mary J. Anderson might have been bolder in her interpretations of the wealth of sources available to her. For example, she comments that the mystery of why none of the children were married must be left to the readers judgment (51-52). Since she is the one who has spent time with the primary sources, it seems reasonable to expect that she could be more insightful on this question than her readers.

The book is complemented by a website, the Whitehern Museum Archives (www.whitehern.ca). At this time, the website contains a searchable database of nearly 2000 letters (and will eventually have 3000), 200 photographs, essays, newspaper articles, and sermons; detailed timelines; analysis and commentary based on Mary J. Andersons doctoral thesis; and information about Whitehern itself.

The book, the website, and the home are treasure troves of primary source material for teachers and students interested in womens or family history, upper middle-class urban life in the Victorian and Edwardian eras, Presbyterian Missionary Societies, or even medical history, in Canada. Because the editor makes her work so transparent, the book offers a helpful glimpse of how one can go about working with primary source materials to weave a coherent and well supported narrative.

Penney Clark – University of British Columbia. Vancouver, British Columbia.

Acessar publicação original

[IF]

Cartas – BURCKHARDT (RIHGB)

BURCKHARDT, Jacob. Cartas. Rio de Janeiro: Liberty Friend. Top Books, 2003. 431p. Resenha de: RODRIGUES, Lêda Boechat. Revista do Instituto Histórico e Geográfico Brasileiro, Rio de Janeiro, v.165, n.422, p.261-263, jan./mar., 2004.

Lêda Boechat Rodrigues – Sócia emérita do IHGB.

Acesso apenas pelo link original

[IF]

 

Cartas a Manuel Montt: Un registro para la Historia Social de Chile (1836-1869) | Marco Antonio León

Interesante, desde muchos puntos de vista, es la publicación realizada por León y Aránguiz, aunque no hay ninguna novedad espectacular. Diversos aspectos de la vida pública entre los años indicados muestran la existencia real entretejida por los personajes, como siempre ocurre en las manifestaciones epistolares.

Un primer conjunto de cartas es de Joaquín Prieto en su calidad de Comandante General de Armas de Valparaíso, después de haber ejercido la primera magistratura. El contenido es de menudencias administrativas, asuntos relativos a la Iglesia, más concretamente sobre eclesiásticos, orden público, intervención electoral, etc. Entre los personajes desfilan Francisco de Paula Taforó “virtuoso y hábil”, el cónsul británico en Perú, Hugo Wilson, pájaro de cuenta que había actuado en la sombra como agente del protector Andrés de Santa Cruz y que seguía urdiendo planes para su restitución al gobierno boliviano, todo ello en 1845; “el joven Bilbao” ocultándose antes de partir al extranjero. Leia Mais

The Life and Letters of Annie Leake Tuttle – WHITELEY (CSS)

WHITELEY, Marilyn Fardig (ed). The Life and Letters of Annie Leake Tuttle. Waterloo: Wilfred Laurier University Press, 1999. 147p. Resenha de: SENGER, Elizabeth. Canadian Social Studies, v.35, n.2, 2001.

Oral history is a very special genre of research and writing, and The Life and Letters of Annie Leake Tuttle is a wonderful example of a Canadian oral history rich in tradition and cultural images. Fardig Whiteley has collected and selectively edited the firsthand musings of a Nova Scotia woman of the late 19th century. Annie Leake Tuttle comes alive in these pages and we come to know her through her personal struggles. This work is additionally important because it focuses on women’s experiences. This segment of society has been sadly neglected in the traditional recording of history.

Fardig Whiteley has skillfully selected and edited a variety of pieces from the collection of writing left by this extraordinary, ordinary woman. The story of Annie Leake Tuttle is the story of countless women who lived, dreamed and died in Canada during the late nineteenth century. She was, by contemporary standards, an average, unexceptional woman who lived and sought meaning in her life in relatively unremarkable ways, yet her story is all the more powerful because of its conventionality.

Reading through these pages one can clearly identify with a woman who understood her own failings and sought to discover her strengths. She overcame a number of obstacles in pursuing her desire to teach and in her search for spiritual meaning. She never stopped learning about herself and the world in which she lived; in her life is a lesson for all people who believe they do unremarkable things. The fact that she left such a detailed account of her life and times is a major accomplishment in itself and a great legacy to those of us who come after her. Whether we be teachers, or not, women, or not, she has a powerful message to deliver to us all.

The book is relatively short and flows easily from Tuttle’s early musings to the last letters she wrote late in life. It offers an insightful and important glimpse into the life of ordinary people – she talks at length about friends and family and their adventures, as well as her own. Annie wrote these accounts in order to leave a record for her nieces and nephews. Her intimate, conversational, self effacing style comes across as sincere and informative. As I read through her letters and journal entries, I felt a very personal connection to this woman. This is a characteristic that is sadly lacking in many academic works of history and, because of this, The Life and Letters of Annie Leake Tuttle would be an excellent resource in any Canadian history classroom. It could be used as a required reading piece to help students at the high school or secondary level to understand the deeper, more personal aspects of historical study, especially oral histories.

This book is laid out as Annie intended. She identified chapters of her life, labeled them with intriguing titles, and noted the years covered by each chapter. The flow of the book is logical and easy to follow and Fardig Whiteley inserts commentary which serves to enhance and clarify the text. A map at the beginning of the book orients the reader to the area in Nova Scotia where most of the action took place. A number of family portraits and photographs which illustrate the countryside and the home in which Tuttle spent the last years of her life are also included. These pictures are thoughtfully selected and help the readers orient themselves in time, just as the map facilitates a geographical orientation. A small family tree and basic chronology of Annie Leake Tuttle’s life – again, meaningful personal touches which make Annie’s story more real – are included at the end of the book.

Finally, Fardig Whiteley includes a brief commentary on the primary sources used to compile the book and an extensive bibliography for those who wish to pursue the fascinating topic of oral histories in general, and Annie’s story in particular. This book is one of the Books in the Life Writing Series and the list of other available titles is thoughtfully included at the end. The Life and Letters of Annie Leake Tuttle would be a wonderful addition to any historian’s collection; it is a piece which brings ordinary history alive and helps us to make a personal connection to our past.

Elizabeth Senger – Henry Wise Wood High School, Calgary.

Acessar publicação original

[IF]